Sur ses gardes

Le premier « polar » de l’auteur. Un roman noir qui mélange aussi thriller et espionnage, salué par les critiques spécialisés et remarqué lors de la 7^e édition du festival Québec en toutes lettres consacrée au genre policier.

Extrait de la dernière de couverture :

« Automne 1999, en banlieue parisienne. L’ancien champion de
boxe Eddy Barcot exerce sans conviction la profession d’agent
de sécurité dans un grand magasin. Un soir, sa meilleure amie Malika vient
lui demander de l’aide : son frère Jalil a disparu depuis quatre
jours. Il est sa seule famille ; Barcot, son seul recours…
Très vite, l’ex-roi des poids moyens se heurte au mystère d’un cadavre retrouvé avec les papiers de Jalil. Dans quelle histoire ce dernier a-t-il été entraîné ? »

Paru en avril 2015 aux Éditions À l’étage (Groupe d’édition la courte échelle, Montréal), Sur ses gardes est le 2^e roman de Stéphane Ledien. L’auteur se lance pour de bon dans le genre « noir » et inaugure un cycle intitulé Les Phalanges d’Eddy Barcot.
288 p., en librairie partout au Canada.
[Pour l’Europe : communiquer avec Distribution du Nouveau Monde.]

Ce qu’ils en ont pensé :

Un premier thriller remarquable qui commence comme un roman noir, pour se transformer en récit d’espionnage à haute tension.

Norbert Spehner

—

Un héros qui n’est pas sans rappeler le Bucky Bleichert de James Ellroy, le Bernie Gunther de Philip Kerr et le Philip Marlowe de Raymond Chandler. Difficile d’en décrocher.

Marie-Christine Blais,
La Presse

—

Très efficace et bien écrit. […] Je veux qu’on retrouve Eddy Barcot, parce que c’est un beau, beau personnage !

Chrystine Brouillet,
Salut Bonjour, TVA

—

L’effet crescendo s’avère réussi […] Eddy Barcot est assurément un héros de polar plus aguerri et les prochains tomes de sa trilogie promettent déjà d’être captivants.

Isabelle L’Italien-Savard,
Revue Québec français

—

Des dialogues savoureux, des phrases bien tournées et un humour ravageur.

Richard Migneault,
Polar, noir et blanc

—

Une écriture parfaitement maîtrisée. Ça ressemble au mouvement lent d’une symphonie, suivi bientôt d’un allegro où l’action reprend jusqu’à un ultime rebondissement qui nous laisse pantois.

Michel Dufour,
Sang d’Encre Polars

—

Un style « punché » et accrocheur aux influences chandleriennes très assumées, raffiné de bonnes doses spirituelles.

Christian Vachon,
LesLibraires.ca